Sujet d’actualité. Préoccupation d’une génération. Depuis les années 80, l’argent fait le bonheur. Odeurs et saveur d’une société de consommation.
Les billets possèdent un fumet particulier suivant le papier employé. Au cours de mes voyages j’ai constaté la douceur du dollar, la note d’olive verte de la livre anglaise, de bol de céréales, variété flocons d’avoines, des francs français, boisée du franc Suisse, et la note poivrée presque métallique des billets du Laos.
Les pièces par contre jouissent d’un parfum universel de crasse. Acide et aigre avec une arrière senteur de mélasse, savant mélange de sueur, de graisses diverses et de poussières.
Les cartes bancaires ne parlent pas beaucoup. Argent virtuel, elles se contentent d’un minuscule relent cru de plastique, à peine relevé lorsque le nez s’approche de la bande magnétique. Imaginez si un jour prochain les banques toujours en veine de profit publicitaire, proposent des cartes de crédits au parfum de votre choix : fraise, chocolat, floral, boisé ou noix de coco pour s’imprégner d’un sentiment de satiété à chaque manipulation… jusqu’à l’indigestion ?
Les billets possèdent un fumet particulier suivant le papier employé. Au cours de mes voyages j’ai constaté la douceur du dollar, la note d’olive verte de la livre anglaise, de bol de céréales, variété flocons d’avoines, des francs français, boisée du franc Suisse, et la note poivrée presque métallique des billets du Laos.
Les pièces par contre jouissent d’un parfum universel de crasse. Acide et aigre avec une arrière senteur de mélasse, savant mélange de sueur, de graisses diverses et de poussières.
Les cartes bancaires ne parlent pas beaucoup. Argent virtuel, elles se contentent d’un minuscule relent cru de plastique, à peine relevé lorsque le nez s’approche de la bande magnétique. Imaginez si un jour prochain les banques toujours en veine de profit publicitaire, proposent des cartes de crédits au parfum de votre choix : fraise, chocolat, floral, boisé ou noix de coco pour s’imprégner d’un sentiment de satiété à chaque manipulation… jusqu’à l’indigestion ?
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